Les 400 coups - Francois Truffaut

L'adolescence est un période beaucoup plus dûre de ce que l'on s'en souvient généralement. 


En faire un film est encore plus difficile. 


Que le premier film d'un réalisateur parle de l'adolescence et soit considéré un chef-d'oeuvre, ca se voit une fois tous le 50 ou 70 ans. 


Et pourtant c'est ca exactement ce que Francios Truffaut a fait avec Les 400 coups.


Il n'est pas un sécret que le gouvernement francais a tradiotionellement cherché a promouvoir la connaissance de la langue francaise ailleurs, las plus part du temps en utilisant des symboles (le métro parisien), des références culturelles (supermarchés fermés en Dimanche) ou des personnages qui puissent donner un image positive de la France. Truffaut fait partie de ces références culturelles que les étudiants de langue francaise apprennent (ou sont censés à apprendre, en tout cas) lors des prémieres séances. En regardant Les 400 coups, il n'est pas compliqué à comprendre pourquoi le gouvernment francais, les universités qui offrent des cours aux étrangers, et les maisons éditoriales qui publient des méthodes de langue francaise l'ont adopté: les prises de la Tour Eiffel tout au début du film, la facon amoureuse dont Montmartre et le Nord parisien en général sont présentés en général, la chambre de bonne où habitent Antoine Doinel et sa famille, typiquement franco-francaise, donnent un image positive et sympathique du pays. 


La seule chose négative que présente Truffaut par rapport à l'ambiance parisienne est la pluie. La plupart des étrangers qui visitent ou habitent à Paris pendant quelque temps sont, en général, étonnés et décus de la pluie et les nuages, partie intégrale de la vie parisienne. La raison pourquoi la plupart des étrangers considèrent que Paris est un gros mensonge (voir le syndrome de Paris) c'est parce que, traditionnellement, les francais ont réussi à vendre Paris comme un ville ensoleillée la plupart de l'année, ce qui est évidemment faux. De ce point de vue, Truffaut n'en ment pas. Et il réussi encore a nous faire vouloir aller en France... 


même si le spectateur ne s'en rend pas compte. Dans Les 400 coups, Truffaut présent un